Procédés de recrutements originaux chez les SSII

Dans le domaine des SSII, plus de 90% des entreprises ont envisagé de recruter en 2013. Qu’est qui en a freiné certaines ? Le défaut de facilité d’embauches pour tester le candidat idéal. Pour remédier à cela, les techniques classiques de choix peuvent être repensées par de nouveaux outils.

Des tests dans un délai imparti

Le concept des Opens du Web est mis en œuvre depuis quatre ans. Des centaines de jeunes savoirs du web (développeurs, intégrateurs, designers, etc…) ont pour but de réussir un maximum d’examens, en un temps limité et sous l’œil d’un panel de pro.
Au delà de l’obtention des prix, ce qui motive les participants, c’est de pouvoir décrocher un job. En 2012, près de 40 de recruteurs étaient venus : Cdiscount, Daylymotion, Viadeo, Crédit Agricole Investment Banking, une dizaine de start-up et tant d’agences numériques. Le score obtenu au cours de l’épreuve fait office de CV.
Pour preuve, le vainqueur de la dernière édition déclarait qu’il recevait une offre d’emploi hebdomadaire.

Une estimation différente.

D’après les organisateurs de l’événement, il s’agit là d’un moyen singulier d’embauches, qui n’a pas pour but de remplacer les procédés classiques, qui ont mauvaises réputations, y compris à propos de l’objectivité. Ce genre d’opérations rencontre une grande réussite notamment à cause du sentiment de défaut d’objectivité de la notation des candidats. Xavier Niel, patron de Free, dans l’annonce de la réalisation de l’Ecole 42 déclarait que ne pas avoir de bac n’empêchait pas de se transformer en talentueux développeur. Cet établissement a d’ailleurs employé son propre concours, où se pressés étudiants ou salariés, avec des lots à la clé et une place pour le process d’inscription à l’école.

Les entreprises associées

Des entreprises externes s’impliquent dans ces événements, pour prouver une ouverture d’esprit en termes d’embauches. Des sites d’emplois ont recours à ce principe, comme RegionsJob. via un challenge de programmation sur internet, les candidats peuvent prouver leurs savoirs et discuter leur score à des recruteurs. D’autres initiatives font appel aux passions des profils, vous rendant du poker au football, en passant via le golf et les jeux vidéo.

Les avantages de ces nouvelles techniques d’embauches

Ces actions ne peuvent être pas que des coups publicité. Sur le plan RH, c’est une opération habile de sélection des candidats. Plongé en situation, le postulant met à votre disposition son véritable visage, en aussi bien que futur collaborateur.
En apparence convivial, cet événement est en premier lieu spécialiste. Des capacités tout comme la rigueur, la logique, le contrôle du stress, l’esprit d’équipe peuvent être plus détectables avec ce genre d’embauches. Bien entendu, ce schéma a des limites : elle s’adresse aux gros recruteurs, aux ESN (entreprises de prestations du numérique, ex-SSII).
Pour les autres entreprises type éditeurs ou start-up, elles devront opter les outils conventionnels, parmi les profils subsistants. Pour ces ultimes, sont les réseaux sociaux professionnels. Les profils sur internet constituent une bonne source de CV, sur lesquels autour de 80% des étudiants et des jeunes diplômés ont un profil.

Ce concept développé en province ?

Les initiatives peuvent être à l’étude en province pour ce type de science d’embauches. D’ores et déjà, des centres de comme AP Formation à Toulouse proposent des formations qualifiantes pour ceux souhaitant monter en compétence ou voulant les faire assurer par une diplômante.
Des tests, des mises en périodes et des entretiens offrent de concrétiser votre inscription à la webmaster ou réseaux.

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