Fin juin, une cousinade a réuni une soixantaine de personnes dans notre famille. C’est la première réunion où presque tous se retrouvent après des années sans se voir. Cela pourrait s’appeler « perdus de vue ». Chacun a raconté sa vie et celle de ses enfants et petits enfants. Le nombre de couples en difficulté est d’ailleurs assez impressionnant. Pour certains, la situation s’est réglée facilement. Pour d’autres, ce n’est vraiment pas le cas.
Une cousine habitant à Paris nous a vanté les mérites de l’avocate à laquelle elle a fait appel. Il s’agit de Maître Smadja, spécialisée dans les affaires familiales. Connaissant parfaitement son domaine d’action, elle est, paraît-il, très humaine et attentive à notre demande. Elle est très psychologue et ne brusque pas ses clients.
Une séparation à l’amiable !
C’est ce que ma cousine aurait aimé mais son mari ne voulait pas en entendre parler. Par quel bout prendre le problème ? Cette avocate a monté un dossier faisant un état objectif de la situation. Elle a indiqué les démarches possibles avec leurs avantages et leurs inconvénients sans influencer pour l’une ou l’autre.
Elle a compris que ma cousine voulait changer de vie mais qu’elle ne voulait pas « enfoncer » son mari, le père de ses enfants. Elle voulait préserver l’image que les enfants avait de leur papa.
Maître Smadja l’a aidée à gérer cet aspect difficile de la séparation lui prodiguant les conseils nécessaires pour les explications à donner aux enfants. Elle fut un soutien sur le plan juridique mais aussi sur le plan moral.
Je vous donne son adresse, faites tourner si vous en avez besoin: www.smadja-avocat.com