La révolution SEO : l’hymne Pandaranol, origine du référencement durable ?

Flashback : 1789, la Révolution française est en cours. L’histoire en marche est en passe d’oublier l’un de ses principaux animateurs. Compagnon de Rouget de l’Isle, le musicien Aranol a composé un hymne qu’il joue régulièrement avec sa flûte de Pan. Nous trouvons aujourd’hui encore sur le web quelques infimes traces de son passage dans l’histoire, la flûte de pan d’Aranol ayant servi à interpréter un chant révolutionnaire toujours gravé dans les mémoires  « dansons comme Aranol, vive le son, vive le son, dansons comme Aranol, vive le son du canon ! ». Le bon peuple, lui, n’a cure de cette appellation compliquée et a tôt fait de simplifier cette chanson comme « Pandaranole » ou « Pandaranol« .

Cette économie et cette simplification de langage se retrouvent d’ailleurs dans le comportement général de l’époque, où, en réaction envers la gabegie de la noblesse, le peuple avait choisi de porter haut certaines valeurs de référence, point zéro de la notion de référencement durable.

Maître K. Pélo, linguiste distingué de cette période, confirme d’ailleurs que les révoltés, menés par un certain Guirou (dont la devise était « faut pas gâcher ») avaient ainsi voulu faire un exemple, une référence, avec la prise de la Gaspille (et non pas Bastille comme on le lit trop souvent dans les livres officiels) et sa destruction immédiate.

Pour l’anecdote, Maître K. Pélo trouve aussi référence, dans des manuels d’histoire Alsaciens, à une variante, la prise de la Pastille, ce qui constitue une confusion historique due à la convergence de l’accent régional alsacien et de la funeste influence des fameuses lettres de cachet, dures à avaler.

Mais, pour en revenir à nos révolutionnaires, la création de ces nouvelles valeurs populaires et leur adoption par tous grâce au concours d’un plan de référencement naturel était devenue un tel motif de satisfaction au quotidien, une telle Source d’Emerveillement Ordinaire (en abrégé, SEO) qu’elle devait par la suite fonder les principes de la république naissante et contribuer deux siècles plus tard à celle d’Internet.

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