Et si c’était de la fatigue chronique

Coups de pompe et petites déprimes. L’absence de lumière et le froid ont de quoi nourrir les vilains petits maux de l’hiver. On vous propose son programme anti-fatigue ? Du lever au coucher, toutes les occasions doivent être saisies pour faire le plein d’énergie. Verre d’eau et jus d’orange au saut du lit, suivis de cinq minutes de gym devant la fenêtre.

Au petit déj’, nul besoin de se précipiter sur les petites capsules, « Dame nature met à notre disposition tout ce qu’il faut pour combattre la fatigue et autres bobos hivernaux ». Fruits et légumes sont une source suffisante de vitamine C, championne toute catégorie anti-coups de pompe. Profiter de la moindre éclaircie aide à éviter le blues hivernal et se relaxer dès que possible (les bruits de la nature même enregistrés sont excellents pour faire planer). «Rien de tel qu’une “bonne” fatigue pour lutter contre… la fatigue», c’est là une des vertus du sport. Les protéines au déjeuner (viande, œuf, poisson) entretiennent la masse musculaire et les sucres lents (pâtes, riz complet) au dîner favorisent l’endormissement. Le soir, un bain relaxant aux huiles essentielles garantit un bon sommeil.

Rien n’y fait, les troubles persistent ? Et si c’était de la fatigue chronique ? Méconnue, d’origine non élucidée, elle se caractérise par un état de fatigue intense qui dure et des troubles associés du sommeil, de la mémoire, des ganglions au niveau des aisselles et du cou, des douleurs musculaires, des migraines inhabituelles, une pharyngite, des douleurs (dos, genoux, doigts ou hanches).

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L’homéopathie et la phytothérapie aussi

Les infections à répétition ne sont pas une fatalité, et certaines méthodes peuvent constituer de « sérieux coups de pouce ». Un homéopathe, peut aider car l’idéal reste «le traitement de fond personnalisé». En prévention pour tous : une dose d’ Oscillococcinum par semaine durant l’hiver. La dose recommandée en phytothérapie est de cinq granules par jour, durant deux à trois mois.

Lorsqu’une infection débute, le mieux est d’agir dès les premiers symptômes : deux ou trois prises par jour. D’autres granules sont prévus pour accélérer la convalescence. Les oligoéléments peuvent être utilisés chez les petits, certains même en automédication. Depuis trente ans qu’ils sont prescrits, on a aujourd’hui suffisamment de recul pour affirmer qu’ils sont sans risque pour le jeune enfant à condition de respecter les dosages (très faibles).

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