Aphtes : le traitement

On considère que les aphtes s’apparentent à des ulcérations de 1 à 2 mm de diamètre, sans gravité, se déclarant par de légers creux beiges cernés par une auréole rougeâtre, qui prolifèrent par grappes ou seuls, clairsemés sur les muqueuses de la bouche,de la langue. En France, ils concernent 40 à 60 % du peuple. La plupart du temps, le signal d’alarme est une très grande perception de brûlure, toutefois ces plaies ne sont pas du tout dangereuses pour l’état général. De plus l’aphte n’est pas une maladie grave. Momentanés et habituellement anodins, ils deviennent parfois récidivants et incontestablement désagréables. On ignore encore d’où viennent les aptes. Bien que leur manifestation soit encore aujourd’hui pratiquement mystérieuse on a répertorié cependant des des causes déclenchantes : l’angoisse, la fatigue, les intolérances, une sensibilité alimentaire, certaines insuffisances alimentaires, des changements hormonaux qui ont un lien avec les règles chez les femmes d’ailleurs plus touchées par les aphtes que l’homme, ou les prothèses dentaires, du type appareils dentaires, mal adaptées. Habituellement la guérison intervient spontanément en une semaine et demie. Par contre si un aphte persiste deux semaines après son éruption ou s’il a proliféré, il est recommandé de  prendre rendez-vous avec un praticien rapidement. Le premier geste à faire en vue de soulager le mal est d’améliorer son hygiène buccale à l’aide de gargarismes antiseptiques et des médicaments appropriés. Néanmoins on admet qu’il existe une hypothèse qui peut expliquer l’apparition de ces éruptions : en effet les aphtes survenant souvent à la suite d’ une hyperacidité gastrique correspondant à un reflux gastrique dans l’oesophage, il est vivement recommandé d’accompagner le traitement de gargarismes d’eau salée 2 à 3 fois par jour – le sel ayant, comme on le sait,la capacité de faire baisser le taux d’acidité du corps. Pour traiter les aphtes, on préconise aussi :  les traitements par faisceau lumineux artificiel très léger qui sont envisageable pour diminuer la souffrance et venir à bout des aphtes ; une médecine douce qui préconise des médications moins agressives au pic le plus élevé de la maladie et en prévention ;  les herbes médicinales et les médicaments d’origine végétale qui auraient des effets préventifs et médicinaux au commencement des irritations, à utiliser plusieurs fois par jour en infusions d’herbes apaisantes, en soins, en comprimés à sucer, ainsi qu’en gargarismes à base d’aspirine et de vitamine C ou de bicarbonate de sodium en solution dans un verre d’eau ; et enfin les remèdes de bonnes femmes comme le bleu de méthylène et l’élixir de jeunesse, ce dernier étant prescrit pour les très jeunes enfants.

Niko: